Philippe RIDOUX

Adieu le Phil, je t’aimais bien
Adieu le Phil, je t’aimais bien, tu sais
On a chanté les mêmes vins
On a chanté les mêmes filles
On a chanté les mêmes chagrins
Adieu le Phil, tu vas mourir
C’est dur de mourir en novembre, tu sais
Mais tu pars aux panais, la paix dans l’âme
Car vu qu'j'suis bon comme du pain blanc
Tu sais qu’je prendras soin de ta femme

Et tu veux qu’on rie
Tu veux qu’on danse
Tu veux qu’on s’amuse comme des fous
Tu veux qu’on rie
Tu veux qu’on danse
(d'après Le Moribond de Jacques Brel)

Avec ma sœur Françoise, mon fils Simon, mon compagnon Thierry, les amis Philippe Marconnet, Anne Caussanel, nous sommes peinés du départ trop tôt de Philippe.
Il a été un ami cher, un père pour les enfants dont il s'est occupé, dans la veille et la générosité. Son humour fin venait décaler nos partages.
De tout coeur avec toi, Catherine, et toi, Pierre dans ce chagrin immense.
Avec toute mon amitié, Martine

Ton départ brutal m'as plongée dans une grande tristesse mais je garderai de toi les bons moments passés en famille !
J'embrasse Catherine et Philippe et leur envoie tout mon soutien dans ces moments difficiles .

Merci Pierre et merci Catherine, nous serons de tout cœur avec vous pendant que vous accompagnerez Philippe. Voici ce que nous aimerions lui dire:
Cher Philippe, vous avez ètè le plus serviable des voisins,pendant tout le temps du maudit Covid chaque jour,vous nous avez proposé de nous livrer le pain ,les brioches et surtout l'eau minèrale alors que comme nous vous aimiez bien le whisky.
Vous avez été le plus drôle des voisins avec votre humour so british.Mais voilà que vous nous quittez, c'est votre dernière
blague et elle ne nous
fait pas rire du tout.
Merci Philippe, merci
pour tout et Au revoir!
Roger et Annie
Suzanne

Aucun mot n'exprimera ce vide que tu laisses. Mon petit frère, je suis amputée. Toute mon âme ne te quittera jamais. Je t'aime.

Ces dernières années, je ne voyais pas suffisamment Philippe, alors qu’il a toujours été d'une grande gentillesse avec moi. J'ai des souvenirs d'enfance avec lui aux Vannades, où j'ai appris à plonger sous ses encouragements, et à la maison de Papi et Mamie où il me faisait pleurer de rire durant les repas interminables. J'ai des souvenirs de sa musique, toute petite, j’étais fascinée par la vélocité de ses doigts. Il me faisait sentir les vibrations des guitares et pianos. J’ai gardé cette idée que la musique est une vibration. J’ai également gardé l’émotion au fond du ventre lorsque je ressens cette vibration. Je garde un souvenir ému de la délicatesse dont il faisait preuve avec les autres. Il était une personne sûre de mon enfance et je n'ai pas pris le temps de le remercier suffisamment pour le rôle qu'il a joué pour moi. Il laisse un grand vide dans mon cœur.

Nous sommes de tout cœur avec vous dans l'immense peine qui est la vôtre.
Nous irons à Notre Dame de la Garde dimanche pour faire brûler un cierge et ferons dédier une messe à la mémoire de Philippe.
Avec tout notre soutien,
Carole Bruno et Marine